Benjamin THIGPEN, Dissolution (AKOUSMA)
13 octobre 2018
10m 30s
Réf. 01116
Notice
Résumé :
Reportage consacré au compositeur Benjamin THIGPEN à l’occasion de la création de sa pièce Dissolution le samedi 13 octobre 2018 dans le cadre des concerts AKOUSMA de l’INA grm à la MPAA (Maison des Pratiques Artistiques Amateurs) Saint-Germain à Paris.
Un court entretien est suivi d'un extrait de la pièce.
Il y évoque notamment son travail en résidence à l'Elektronmusik Studion (EMS) à Stockholm sur un synthétiseur analogique modulaire Buchla 200.
Un court entretien est suivi d'un extrait de la pièce.
Il y évoque notamment son travail en résidence à l'Elektronmusik Studion (EMS) à Stockholm sur un synthétiseur analogique modulaire Buchla 200.
Date de diffusion :
13 octobre 2018
Personnalité(s) :
Éclairage
BIOGRAPHIE :
BENJAMIN THIGPEN
Nomade, étranger, né aux États-Unis, naturalisé en France. Enfant, il a été piégé par le son et il ne s’en est jamais sorti. Il jouait du saxophone, de la flute, du hautbois, du cor anglais et de la guitare. Après avoir abandonné ces instruments et quitté le conservatoire, il a poursuivi des études en littérature, en philosophie et en esthétique – et il a beaucoup voyagé. Petit à petit il est retourné à la musique à travers l’électronique et la composition.
Il est maintenant créateur de musique pour haut-parleurs – compositeur et musicien live electronic. Il compose dans divers studios électroacoustiques européens (GRM, VICC, EMS, STEIM) et se présente en concert à travers le monde. Il a sorti trois CD monographiques – human for scale (EMF Media 2005), divide by zero (Sub Rosa 2011) et flux (empreintes DIGITALes 2017). Il joue dans le duo Rust avec le compositeur et inventeur d’instruments Jean-François Laporte, dans Les Frères Bobine avec le musicien électronique Stefano Bassanese, dans Fluid Identities avec le violoncelliste Benjamin Carat et dans un duo sans nom avec le percussionniste/chanteur Seijiro Murayama. Il enseigne l’informatique musicale aux Arts2, en Belgique.
Il pense que la musique n’est pas un langage mais une expérience vécue viscéralement ; et qu’elle n’est pas l’art du son, mais l’art de la transcendance du son.
http://soundcloud.com/benjamin-thigpen/sets
http://www.benjaminthigpen.net
NOTICE DE L’ŒUVRE :
DISSOLUTION
(2018) / 22’
Création, Commande INA GRM
dissolution I 6’01
dissolution II 7’18
dissolution III a 2’48
dissolution III b 5’42
Quand une forme bouge elle n’engendre pas une forme mais une ombre.
Quand un son bouge il n’engendre pas un son mais un écho.
Quand le rien bouge il n’engendre pas rien mais quelque chose.
- Lei Zi, Ve siècle avant notre ère
Tous les sons de dissolution ont été produits en avril 2010 par un synthétiseur analogique modulaire Buchla 200 à l’EMS (Stockholm). La musique a été composée entre 2013 et 2018 au Visby International Centre for Composers (Visby, Suède) et au GRM.
BENJAMIN THIGPEN
Nomade, étranger, né aux États-Unis, naturalisé en France. Enfant, il a été piégé par le son et il ne s’en est jamais sorti. Il jouait du saxophone, de la flute, du hautbois, du cor anglais et de la guitare. Après avoir abandonné ces instruments et quitté le conservatoire, il a poursuivi des études en littérature, en philosophie et en esthétique – et il a beaucoup voyagé. Petit à petit il est retourné à la musique à travers l’électronique et la composition.
Il est maintenant créateur de musique pour haut-parleurs – compositeur et musicien live electronic. Il compose dans divers studios électroacoustiques européens (GRM, VICC, EMS, STEIM) et se présente en concert à travers le monde. Il a sorti trois CD monographiques – human for scale (EMF Media 2005), divide by zero (Sub Rosa 2011) et flux (empreintes DIGITALes 2017). Il joue dans le duo Rust avec le compositeur et inventeur d’instruments Jean-François Laporte, dans Les Frères Bobine avec le musicien électronique Stefano Bassanese, dans Fluid Identities avec le violoncelliste Benjamin Carat et dans un duo sans nom avec le percussionniste/chanteur Seijiro Murayama. Il enseigne l’informatique musicale aux Arts2, en Belgique.
Il pense que la musique n’est pas un langage mais une expérience vécue viscéralement ; et qu’elle n’est pas l’art du son, mais l’art de la transcendance du son.
http://soundcloud.com/benjamin-thigpen/sets
http://www.benjaminthigpen.net
NOTICE DE L’ŒUVRE :
DISSOLUTION
(2018) / 22’
Création, Commande INA GRM
dissolution I 6’01
dissolution II 7’18
dissolution III a 2’48
dissolution III b 5’42
Quand une forme bouge elle n’engendre pas une forme mais une ombre.
Quand un son bouge il n’engendre pas un son mais un écho.
Quand le rien bouge il n’engendre pas rien mais quelque chose.
- Lei Zi, Ve siècle avant notre ère
Tous les sons de dissolution ont été produits en avril 2010 par un synthétiseur analogique modulaire Buchla 200 à l’EMS (Stockholm). La musique a été composée entre 2013 et 2018 au Visby International Centre for Composers (Visby, Suède) et au GRM.