Drew MCDOWALL, Time Machines du groupe Coil (festival PRÉSENCES électronique)

22 mars 2019
09m 59s
Réf. 01154

Notice

Résumé :
Reportage composé d'un court entretien avec le compositeur britannique Drew MCDOWALL, suivi de la diffusion d'un extrait d'une nouvelle version de l’œuvre Time Machines, pièce composée à l'origine par le groupe Coil et à laquelle avait participé Drew MCDOWALL avec John BALANCE et Peter CHRISTOPHERSON.
L'idée était de créer des fréquences et des timbres pour que le public perde la notion de temps comme dans certaines musiques rituelles ou religieuses.
Cette version fût proposée dans le cadre du festival PRÉSENCES électronique le vendredi 22 mars 2019 au Studio 104 de la Maison de la Radio à Paris.
Type de média :
Date de diffusion :
22 mars 2019
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Éclairage

BIOGRAPHIE :

Drew MCDOWALL
 
D’origine écossaise, Drew McDowall vit à New York depuis le début des années 2000. Son parcours recèle plusieurs étapes significatives puisqu’il a été membre de Coil de 1995 à 2000, a
participé au groupe Psychic TV et a travaillé sur bon nombre de remixes, notamment le Further Down The Spiral de Nine Inch Nails.

De retour dans des sphères plus underground, il livre son premier album solo tardivement en 2015, via Dais records. Sur cet opus, et sur ceux qui suivront en 2017 et 2018, rien n’est
laissé au hasard, la musique de Drew McDowall, naturellement post industrielle, est ciselée et marquée par une atmosphère ambient et active. Pulsations et oscillations lancinantes, samples aux accents ésotériques, Drew McDowall apporte définitivement quelque chose de captivant et de novateur à l’édifice des nouvelles musiques électroniques, ce qu’il a finalement toujours fait
tout au long de sa carrière.


NOTICE DE L’ŒUVRE :

TIME MACHINES
1998

« 4 sons pour faciliter le voyage dans le temps ». Ainsi commence le périple de l’auditeur dans Time Machines, l’une des œuvres les plus acclamées du groupe Coil, tout d’abord sortie comme un projet parallèle éponyme.

Les 4 pièces de l’album ont pour titre les formules chimiques des drogues hallucinogènes pour lesquelles elles ont été composées, et la musique a été patiemment sculptée de façon à provoquer ce que John Balance appelait des « glissements temporels », et pour permettre aux artistes comme à l’auditoire de « dissoudre le temps ».