Domolandes et le développement durable
29 septembre 2011
01m 39s
Réf. 00851
Notice
Résumé :
Pôle sur les constructions respectueuses de l'environnement : Domolandes (4700 km²) : Visite de ce bâtiment école autour du concept de la construction durable. Objectif de Domolandes : devenir la référence nationale en matière d'éco construction. Il s'agit d'une technopôle dotée d'une pépinière d'entreprises et d'une plateforme technologique (but : création de 1000 emplois en 7 ans) Investissement : 7 millions d'euros dont 60% par le conseil général des Landes et 25% par la communauté de communes. 35 entreprises s'installeront dès le 1er janvier 2012
Type de média :
Date de diffusion :
29 septembre 2011
Source :
FR3
(Collection:
19/20 Le journal d'Aquitaine
)
Éclairage
C’est vrai ! En France, depuis le début des années 1970, le préfixe éco-, tiré du grec oikos, « maison, lieu d’habitation », a le vent en poupe : écologie, écotourisme, éco-responsable riment en effet avec économie pour préserver notre oekoumène1 qui appartient d’ailleurs au même champ lexical. Rien d’étonnant donc à ce que, dans les Landes, on se tourne vers l’éco-construction, une façon de bâtir respectueuse de l’environnement, en accord avec la politique engagée depuis longtemps par les responsables du département qui encouragent et soutiennent financièrement les entreprises qui oeuvrent en faveur du développement durable.
C’est dans cet esprit, en effet, que le Conseil général participe, dès 2001, à la mise aux normes européennes de 2004 de l’incinérateur de Messanges2, qu’il soutient le projet d’éco-hameau de Garein3, aide à la construction d’une centrale solaire dans le Gabardan en 20084, promouvant ainsi l’émergence d’un territoire à énergie positive. Des mesures innovantes, garantes d’un développement durable, portées par des entreprises qu’il faut bien aider à s’implanter et que promeuvent les syndicats mixtes5.
C’est donc naturellement le parc d’activités Atlantisud, un technopôle bien positionné sur l’axe de circulation majeur reliant la France à l’Espagne6, qui a été choisi par Domolandes, spécialiste de la construction durable, pour ancrer sa vaste structure de bois, de verre et d’acier représentative de ce qui se fait de mieux, en 2011, en matière d’éco-construction. C’est donc bien en cela un bâtiment-école, un modèle du genre.
Dans ce vaste espace, engendré par le Syndicat Mixte pour l’Aménagement et la Gestion de la zone artisanale de Saint-Geours-de-Maremne (Département des Landse / Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud) on va donc apprendre à «éco-construire» ou «éco-rénover », ce qui équivaut aujourd’hui à atteindre une haute performance sur plusieurs cibles touchant à l’environnement, au confort et la santé des occupants d’un bâtiment, en particulier la préservation des ressources énergétiques (matières premières, eau), la lutte contre le changement climatique, la réduction des déchets et de la pollution, la qualité de l’air intérieur, le confort des occupants (acoustique, visuel), la qualité environnementale et sanitaire des produits de construction.
Ici, les 35 entreprises « accompagnées » par Domolandes apprendront à respecter les référentiels, normes ou certifications qui les aideront à construire leurs projets et leur permettront d’atteindre ces performances.
1) Du grec oikoumenê, surface habitée du globe terrestre.
2) Empreintes landaises : Incinérateur mis aux normes européennes de 2004.
3) Empreintes landaises : Projet de l’éco-hameau de Garein.
4) Empreintes landaise : Construction d’une centrale solaire dans le Gabardan.
5)http://www.landes.fr/files/cg40/conseil-general/budget/budget09_p2_syndicats.pdf
6) Empreintes landaise : Création du parc d’activités Atlantisud.
C’est dans cet esprit, en effet, que le Conseil général participe, dès 2001, à la mise aux normes européennes de 2004 de l’incinérateur de Messanges2, qu’il soutient le projet d’éco-hameau de Garein3, aide à la construction d’une centrale solaire dans le Gabardan en 20084, promouvant ainsi l’émergence d’un territoire à énergie positive. Des mesures innovantes, garantes d’un développement durable, portées par des entreprises qu’il faut bien aider à s’implanter et que promeuvent les syndicats mixtes5.
C’est donc naturellement le parc d’activités Atlantisud, un technopôle bien positionné sur l’axe de circulation majeur reliant la France à l’Espagne6, qui a été choisi par Domolandes, spécialiste de la construction durable, pour ancrer sa vaste structure de bois, de verre et d’acier représentative de ce qui se fait de mieux, en 2011, en matière d’éco-construction. C’est donc bien en cela un bâtiment-école, un modèle du genre.
Dans ce vaste espace, engendré par le Syndicat Mixte pour l’Aménagement et la Gestion de la zone artisanale de Saint-Geours-de-Maremne (Département des Landse / Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud) on va donc apprendre à «éco-construire» ou «éco-rénover », ce qui équivaut aujourd’hui à atteindre une haute performance sur plusieurs cibles touchant à l’environnement, au confort et la santé des occupants d’un bâtiment, en particulier la préservation des ressources énergétiques (matières premières, eau), la lutte contre le changement climatique, la réduction des déchets et de la pollution, la qualité de l’air intérieur, le confort des occupants (acoustique, visuel), la qualité environnementale et sanitaire des produits de construction.
Ici, les 35 entreprises « accompagnées » par Domolandes apprendront à respecter les référentiels, normes ou certifications qui les aideront à construire leurs projets et leur permettront d’atteindre ces performances.
1) Du grec oikoumenê, surface habitée du globe terrestre.
2) Empreintes landaises : Incinérateur mis aux normes européennes de 2004.
3) Empreintes landaises : Projet de l’éco-hameau de Garein.
4) Empreintes landaise : Construction d’une centrale solaire dans le Gabardan.
5)http://www.landes.fr/files/cg40/conseil-general/budget/budget09_p2_syndicats.pdf
6) Empreintes landaise : Création du parc d’activités Atlantisud.
Bénédicte Boyrie-Fénié