Charette
27 juin 1989
03m 23s
Réf. 00106
Notice
Résumé :
A l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, portrait de François Athanase Charette de la Contrie, que les Vendéens insurgés prirent pour chef en 1793.
Type de média :
Date de diffusion :
27 juin 1989
Source :
FR3
(Collection:
JT Le Mans soir
)
Personnalité(s) :
Thèmes :
Lieux :
Éclairage
Le général François Athanase Charette de la Contrie (1763-1796) est l’un des chefs les plus célèbres de la guerre de Vendée. Ce gentilhomme qui après des années de service dans la marine royale s’était retiré dans son manoir du nord de la Vendée est mis à la tête de l’insurrection, sans qu’il le veuille. Mal intégré dans l’ensemble des chefs insurgés en 1793, ce général audacieux et indépendant donne toute sa mesure après les grandes défaites de l’automne 1793 lorsqu’il tient tête d’une façon brillante aux armées républicaines dans le sud de la Loire-atlantique et dans le département de la Vendée. Sa résistance est telle qu’il entrave la répression et que la République française doit signer avec lui un traité de paix en février 1795 dans le château de La Jaunaie, non loin de Nantes. La reprise de la guerre qui se fait six mois plus tard est en revanche rapidement défavorable à Charette, qui est isolé de ses troupes, capturé et fusillé le 29 mars 1796.
C’est cette histoire qui est ici retracée au travers de lieux emblématiques toujours honorés et marquants dans l’histoire vendéenne et nationale.
L’image qui est ici présentée insiste sur le trait de caractère qui l’identifie le plus souvent : le refus de l’autorité et son indépendance, que ce soit envers l’Etat révolutionnaire ou les autres chefs vendéens. Elle permet aussi d’identifier la région-Vendée.
C’est cette histoire qui est ici retracée au travers de lieux emblématiques toujours honorés et marquants dans l’histoire vendéenne et nationale.
L’image qui est ici présentée insiste sur le trait de caractère qui l’identifie le plus souvent : le refus de l’autorité et son indépendance, que ce soit envers l’Etat révolutionnaire ou les autres chefs vendéens. Elle permet aussi d’identifier la région-Vendée.
Jean-Clément Martin