Ferias de Dax
17 août 1998
02m 04s
Réf. 00711
Notice
Résumé :
La traditionnelle feria de Dax a débuté, avec de prestigieux toréadors. La journée appartient aux toreros tandis que la nuit laisse place aux "festayres", nom donné aux estivants, qui font la fête durant six nuits, dans les rues de Dax, avec alcool, musique et danse. Reportage à Dax, durant la journée de féria.
Type de média :
Date de diffusion :
17 août 1998
Personnalité(s) :
Thèmes :
Lieux :
Éclairage
En ce dernier jour des Fêtes de Dax, France 2 consacre un reportage du Journal Télévisé de 13h du 17 août 1998 à la Feria.
Distinguant fête de jour et fête de nuit, le reportage attribue la journée aux toreros et la nuit aux festayres, les noctambules des ferias. Débutant par des images très solennelles de la préparation du torero, il rappelle combien cette préparation est presque féminine, le maestro ayant soin de l’apparence. Il veut plaire et le public veut voir un artiste dans celui qui affronte l’animal et qui touche la mort comme en témoigne Luis-Francisco Espla, torero espagnol interviewé. Ce dernier justifie cet habillage minutieux : c'est un gage de respect envers le taureau qui flirte avec la mort. Effectivement, le matador est une star pour un public inconditionnel qui l’appelle aussi « maestro ». Attendu par un public chaleureux, on le voit sortir de son véhicule en habit de lumière et signer des autographes. Luis Francisco Espla est un matador espagnol né en 1958 à Alicante qui a fait ses débuts en public dans cette même province en 1974 avant de prendre son Alternative à Saragosse le 23 mai 1976. Matador apprécié des aficionados les plus exigeants, il est un très bon banderillero comme en témoignent les images d’une corrida dans les arènes de Dax. En effet, nous y voyons ce maestro à l’œuvre, celui-ci s’est fait une réputation de maître en plantant face aux cornes les banderilles.
Autre style, autre tenue, l’habit de lumière étincelant les arènes en journée cède sa place à la tenue blanche et rouge la nuit. A Dax, on appelle ces noctambules les « festayres ». Les images des rues en fête rappellent combien le programme est simple. Au son de la banda, groupe de musiciens mobiles animant les fêtes du Sud-Ouest durant l’été en jouant un répertoire musical basco-navarrais, les participants de la fête sillonnent les rues et les bars pour boire, chanter, danser et danser, chanter et boire. Pour « ceux qui ne connaissent pas la musique, un petit rappel de ce mode d’emploi d’une soirée de fêtes est réalisé dans ce reportage, images à l’appui : . L’activité est répétée pendant six nuits complètes. Et de conclure : « pas étonnant que, les vacances terminées, la reprise soit difficile ».
Distinguant fête de jour et fête de nuit, le reportage attribue la journée aux toreros et la nuit aux festayres, les noctambules des ferias. Débutant par des images très solennelles de la préparation du torero, il rappelle combien cette préparation est presque féminine, le maestro ayant soin de l’apparence. Il veut plaire et le public veut voir un artiste dans celui qui affronte l’animal et qui touche la mort comme en témoigne Luis-Francisco Espla, torero espagnol interviewé. Ce dernier justifie cet habillage minutieux : c'est un gage de respect envers le taureau qui flirte avec la mort. Effectivement, le matador est une star pour un public inconditionnel qui l’appelle aussi « maestro ». Attendu par un public chaleureux, on le voit sortir de son véhicule en habit de lumière et signer des autographes. Luis Francisco Espla est un matador espagnol né en 1958 à Alicante qui a fait ses débuts en public dans cette même province en 1974 avant de prendre son Alternative à Saragosse le 23 mai 1976. Matador apprécié des aficionados les plus exigeants, il est un très bon banderillero comme en témoignent les images d’une corrida dans les arènes de Dax. En effet, nous y voyons ce maestro à l’œuvre, celui-ci s’est fait une réputation de maître en plantant face aux cornes les banderilles.
Autre style, autre tenue, l’habit de lumière étincelant les arènes en journée cède sa place à la tenue blanche et rouge la nuit. A Dax, on appelle ces noctambules les « festayres ». Les images des rues en fête rappellent combien le programme est simple. Au son de la banda, groupe de musiciens mobiles animant les fêtes du Sud-Ouest durant l’été en jouant un répertoire musical basco-navarrais, les participants de la fête sillonnent les rues et les bars pour boire, chanter, danser et danser, chanter et boire. Pour « ceux qui ne connaissent pas la musique, un petit rappel de ce mode d’emploi d’une soirée de fêtes est réalisé dans ce reportage, images à l’appui : . L’activité est répétée pendant six nuits complètes. Et de conclure : « pas étonnant que, les vacances terminées, la reprise soit difficile ».
Marie Pendanx