Avancée des travaux du musée Soulages

10 décembre 2012
01m 46s
Réf. 00042

Notice

Résumé :

En plein coeur de la ville de Rodez, le futur musée Soulages impose son architecture moderne et innovante.

Date de diffusion :
10 décembre 2012

Transcription

Présentateur
Restez avec nous, avant de continuer notre conversation, je propose à nos téléspectateurs de découvrir eux aussi l'état d'avancée des travaux de votre musée avec Corinne Le Brave. On se retrouve juste après.
Journaliste
C'était le 20 octobre 2010. Pierre Soulages posait la première pierre du musée qui sera consacré à son oeuvre sur le Foirail de Rodez. Deux ans plus tard, l'édifice impose sa longue silhouette, à quelques pas du centre historique de la ville. Les salles d'exposition permanentes et temporaires, tout comme l'auditorium, en sont aux finitions. A un an de la réception du chantier, et malgré les contraintes techniques imposées par l'oeuvre particulière de l'artiste, le cahier des charges est respecté.
Yann Lodey
Ca correspond parfaitement au projet architectural, avec quelques adaptations qui ont été nécessaires, mais globalement, et à 95% du projet, nous sommes tout à fait conforme avec ce qui était prévu, que ce soit la nature des poutres, le béton, tout.
Journaliste
Ce chantier aura suscité beaucoup d'émoi et de polémiques. Le projet a été initié en 2004, mais pour qu'il voie le jour, l'artiste a imposé ses conditions, notamment une vaste salle pour les expositions temporaires de jeunes artistes contemporains. La première donation de cinq cents oeuvres par Pierre Soulages en 2005 marquera l'acte fondateur du musée. Le changement de municipalité et le coût du projet n'empêcheront plus le musée de sortir de terre.
Ludovic Mouly
Aujourd'hui le projet se déroule bien, on voit l'émergence physique du musée dans la ville, il a émergé ce musée et effectivement il a une présence d'ores et déjà dans la ville de part et d'autre du jardin public, qui est très imposante, qui est très innovante en terme de... architectural.
Journaliste
Le musée Soulages coûtera vingt-huit millions d'euros, mais dès l'ouverture des collections au public, prévue au printemps 2014, la renommée du peintre et de son oeuvre devrait profiter à tout Midi-Pyrénées.