L'aérodrome des Sables-d'Olonne
08 juin 1965
02m 06s
Réf. 00401
Notice
Résumé :
Pierre Mauger, le maire des Sables-d'Olonne est fier de parler du développement de l'aérodrome installé dans sa commune depuis 1925. Les destinations autour de la ville ne manquent pas, comme vers l'Île d'Yeu, à 30 minutes, ce qui peut satisfaire de nombreux touristes.
Type de média :
Date de diffusion :
08 juin 1965
Source :
ORTF
(Collection:
Télé Loire Océan actualité
)
Personnalité(s) :
Lieux :
Éclairage
Lorsqu’en 1965, le maire relance l’activité aéronautique aux Sables, sur l’aérodrome de loisir qui est situé à 5 kms au sud-est de la ville, il l’inscrit dans la politique de développement du tourisme qui est mise en œuvre à l’époque souhaitant améliorer les offres d’animation. Il s’appuie sur une longue pratique des sports aériens aux Sables, liée aux habitudes d’une clientèle aisée. Cinquante ans plus tard, l’aérodrome doté de deux pistes, dont l’une est bitumée, demeure utilisé pour la pratique d’activités de loisirs et de tourisme (aviation légère, hélicoptère) et le parachutisme qui se pratique en saison. L’aviation d’affaire utilise cependant l’aérodrome de La Roche-sur-Yon plus central et ouvert à la navigation internationale.
Pierre Mauger vient alors d’accéder à la mairie, avant de devenir député de la Vendée et conseiller général, fonctions qu’il occupera pendant 16 ans. Son engagement politique date de 1940 quand il tente, à 17 ans, de rejoindre la France libre. Refoulé d’Espagne et placé dans un camp militaire, il s’évade et rejoint le réseau de résistance commandé par le colonel Rémy. Arrêté, il est envoyé à Mauthausen, où il reste jusqu’en mai 1945.
Pierre Mauger vient alors d’accéder à la mairie, avant de devenir député de la Vendée et conseiller général, fonctions qu’il occupera pendant 16 ans. Son engagement politique date de 1940 quand il tente, à 17 ans, de rejoindre la France libre. Refoulé d’Espagne et placé dans un camp militaire, il s’évade et rejoint le réseau de résistance commandé par le colonel Rémy. Arrêté, il est envoyé à Mauthausen, où il reste jusqu’en mai 1945.
Jean-Clément Martin