La Bataille de Bazeilles : le déclin du Second Empire, l’avènement de la Troisième République
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Reportage évoquant la Bataille de Bazeilles, lors de la guerre de 1870. Cette bataille marque un tournant historique à plus d’un titre, avec en France, la capitulation de Napoléon III et la naissance de la Troisième République ; en Allemagne, la naissance d’un Empire allemand unifié et une nouvelle carte de l’Europe source de rancune aux origines de la Première Guerre mondiale.
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Date de publication du document :
08 déc. 2021
Date de diffusion :
07 janv. 2012
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Contexte historique
ParProfesseure certifiée d’histoire-géographie au collège Paul Langevin à Hagondange
La bataille de Bazeilles a eu lieu durant la guerre franco-prussienne de 1870-1871 opposant le Second Empire au royaume de Prusse et autres États allemands. Les causes de cette guerre reposent sur la volonté du chancelier Otto Von Bismarck d'unifier l'Allemagne, une mosaïque d'États indépendants, sous l’égide de la Prusse. En effet, en 1870, l’État allemand n’existe pas. A la place se trouvent différents États, aux tailles variables et statuts différents (de la ville indépendante au royaume). Deux groupes s’y distinguent, la Confédération de l’Allemagne du Nord, dirigée par le plus grand royaume qui la compose, la Prusse, ainsi que des États à l’est et au sud, plus indépendants les uns des autres.
La question de la succession d’Isabelle d'Espagne, qui a été renversée, est le déclencheur des hostilités. Bismarck suggère la candidature du prince Léopold, cousin de Guillaume Ier de Prusse. La France se trouverait encerclée. Napoléon III demande donc le retrait de cette candidature. Guillaume Ier y répond par l’affirmative. Mais la France veut une confirmation écrite. Bismarck en profite pour rédiger la dépêche d'Ems où il fait mention, de manière déplacée, de la réponse négative que le roi de Prusse donnait à une entrevue réclamée par l'ambassadeur de France. La dépêche publiée dans la presse le 14 juillet 1870 est considérée par la France comme un affront. Le gouvernement français déclare la guerre à la Prusse le 17 juillet.
Mais Napoléon III n’a aucun allié en Europe. L'Autriche lui en veut d’avoir été neutre dans le conflit qui l’a opposée à la Prusse 3 ans plus tôt. L’Italie n’admet pas que les troupes françaises présentes à Rome protègent les possessions du Pape et empêchent la réalisation de son unité. Le Royaume-Uni, est scandalisé que Napoléon III veuille annexer la Belgique (projet révélé par Bismarck à toute l'Europe le 25 juillet). En Russie, le tsar Alexandre III se veut neutre. Mais surtout, tous les États, tant du nord que du sud de l'Allemagne, apportent leur soutien diplomatique et militaire à la Prusse.
Très vite, l’armée de Napoléon III enchaîne les défaites. Le 6 août 1870, l’Alsace et la Lorraine sont abandonnées aux Allemands. Le 18 août 1870, les troupes françaises se replient sur la ville de Metz qui tente de résister. Les 31 août et 1er septembre, a lieu la défense de Bazeilles, dans les Ardennes. Le lendemain, Napoléon III rentre dans la forteresse de Sedan et y fait hisser le drapeau blanc afin de faire épargner son armée. Le 2, il capitule et est fait prisonnier. Emprisonné en Allemagne, il part en exil en Grande-Bretagne, et y meurt le 13 janvier 1873.
En apprenant la capitulation de Napoléon III, le gouvernement choisit de poursuivre la guerre. Mais la toute jeune IIIe République, proclamée le 4 septembre, ne parvient pas non plus à stopper les troupes allemandes. En janvier 1871, Paris est coupée de tout, la défaite inévitable et le gouvernement doit négocier. En parallèle, la Prusse et ses alliés du Nord ont négocié avec les États allemands du Sud pour créer un Empire qui est officiellement proclamé dans la Galerie des Glaces du château de Versailles, le 18 janvier 1871.
Le 26 janvier 1871, un premier armistice est signé entre la IIIe République française et l’Empire allemand. La guerre se finit officiellement avec le traité de Francfort ratifié le 10 mai 1871, dont les conséquences sont lourdes. La première est territoriale, avec la perte de l’Alsace, la Moselle, une partie de la Meurthe et des Vosges. (NB. Une petite partie du département du Haut-Rhin n’est pas cédée à l’Empire allemand : l’arrondissement de Belfort, qui reste à la France et devient un département français en 1922.) A cela s’ajoute une indemnité de 5 milliards de francs-or à payer en trois ans et une occupation allemande de deux ans (Verdun, dernière place forte française, n’est évacuée par les Allemands que le 16 septembre 1873). Mécontente, une partie de la population parisienne se soulève. C’est le début de la Commune de Paris.
Éclairage média
ParProfesseure certifiée d’histoire-géographie au collège Paul Langevin à Hagondange
Ce reportage s'insère dans le journal télévisé le 19/20 de la locale Champagne-Ardennes de France 3. Après un lancement en plateau, la bataille de Bazeilles est évoquée en elle-même. Le 1er septembre 1870, les troupes de marine du commandant Lambert, composées de marsouins et de bigors, sont retranchées dans une auberge, la Maison Bourgerie transformée en fortin pour l’occasion, et tiennent tête à un régiment de Bavarois pour protéger la retraite du 5e corps d’armée. Dans les troupes de marine, les marsouins constituent l’infanterie et les bigors l’artillerie. Ils repoussent par deux fois les assauts des alliés de la Prusse. Ils tiennent jusqu’à épuisement de leur dernière cartouche, tirée par le capitaine Aubert. Les troupes de marine sont obligées de se rendre, après avoir héroïquement tenu trois heures. Sur la cinquantaine de marsouins retranchés, quinze seulement se rendent à l'ennemi.
Puis vient une entrevue avec Jean-Claude Nguyen, délégué régional aux musées de France pour le Musée de Bazeilles ; racheté en 1899 et placé sous le patronage du Souvenir français en 1939, il a été rénové en 2005. On y trouve une exposition permanente et des objets de la guerre, ainsi que le célèbre tableau de Neuville. Il évoque le type de combats menés lors de cette bataille et rappelle que le régiment de marine n’était alors pas du tout entraîné pour des combats en métropole. En effet, on ne parle pas ici de la Marine Nationale. Historiquement, les troupes de marine sont une composante de l’Armée de Terre puisqu’elle est constituée de troupes terrestres embarquées sur des vaisseaux militaires pour les défendre, libérant ainsi l'équipage du vaisseau des tâches de combat. Elle regroupe aujourd’hui : infanterie, artillerie, cavalerie blindée, transmissions, génie et troupes aéroportées. Au sein de la Marine Nationale, on parle de fusiliers marins.
Le reportage se poursuit dans l’Aisne avec une interview du Capitaine Sébastien Lemée, du 1er Régiment d’Artillerie de Marine. Il explique que la bataille de Bazeilles a permis de montrer l’esprit de bravoure de la division Bleue. Cette division Bleue est une division d’infanterie de marine créée au cours de la guerre de 1870 et qui réunissait, pour la première fois dans l'Histoire des troupes de marine, des marsouins et des bigors. Le Lieutenant-Colonel Thierry Lionnet, Commandant en Second du 1er R. AM. prolonge cette réflexion en expliquant que la date de la célébration pour leur fête d’Arme n’est autre que le 1er septembre en souvenir de la bataille de Bazeilles. Il permet aux Hommes de se rappeler que leur métier est un métier particulier, voire hors-norme, doté d’un engagement opérationnel qui peut conduire au sacrifice ultime : le don de sa propre vie.
Derrière le Lieutenant-Colonel se trouve une reproduction du tableau d’Alphons Marie de Neuville évoquant cette bataille : « Les dernières cartouches », une peinture à l’huile sur toile, également intitulé « Combat à Balan » ou « La dernière cartouche » et date de 1873, c’est-à-dire deux ans après la fin de la guerre. Le tableau fait directement référence à l’épisode de la Maison Bourgerie considéré comme glorieux et poignant. Neuville justifia son œuvre dans une lettre au critique d’art Gustave Goestschy, en 1881 : « Je désire raconter nos défaites dans ce qu'elles ont eu d'honorable pour nous, et je crois donner ainsi un témoignage d'estime à nos soldats et à leurs chefs, un encouragement pour l'avenir. Quoi qu'on en dise, nous n'avons pas été vaincus sans gloire, et je crois qu'il est bon de le montrer! ».
Le reportage se finit sur une entrevue avec l’adjoint au maire de Bazeilles. Il explique l’importance du devoir de mémoire pour lequel même aujourd’hui, les Bazeillais sont au rendez-vous lors de commémorations qui se font le premier ou le deuxième week-end de septembre, chaque année, avec un concert donné par les troupes de Marine, une veillée à l’ossuaire, ainsi qu’une messe, célébrée le lendemain dans son église.
Transcription
(Cliquez sur le texte pour positionner la vidéo)
Laurence Laborie
C’est l’heure à présent du Mag de la Rédaction.Ce soir, nous vous proposons de revivre la bataille de Bazeilles dans les Ardennes.1870, la France est en guerre et pour la première fois, les troupes de marine prennent part à la lutte face aux Prussiens.Récit de cet épisode héroïque, avec Patrick Charlot et Philippe Mercier.
(Musique)
Patrick Charlot
Nous sommes à quelques kilomètres de Sedan, à la lisière de la forêt des Ardennes.La commune de Bazeilles entre brutalement dans l’histoire le 1er septembre 1870.La guerre franco-prussienne scelle le destin d’une poignée d’hommes, en faisant de cette bourgade le théâtre d’un combat héroïque.A la veille de la défaite de Sedan, la division d’infanterie de marine, emmenée par le Général de Vassoigne, se replie à Bazeilles.Les marsouins de la Division Bleue transforment l’Auberge Bourgerie en fortin, pour enrayer la progression des Bavarois.Après trois heures de résistance, au prix du plus grand sacrifice, les hommes du Commandant Lambert cessent le combat, faute de munitions.C’est le Capitaine Aubert qui tire la dernière cartouche.Les assaillants épargnent les survivants.Ce haut fait d’armes est depuis entré dans l’histoire.
Jean-Claude Nguyen
Ce lieu de défaite, mais de combat surtout, a été à tout à l’honneur des troupes de marine qui n’étaient pas spécialement entrainées pour combattre en métropole, et deuxièmement, parce que ce combat était le combat jusqu’à la dernière cartouche.Et c’est probablement ces deux événements qui en ont fait, je dirais, ce que représente aujourd’hui une troupe de marines, ce qu’est Camerone à la légion étrangère.
Patrick Charlot
Comment est-on arrivé au désastre de Bazeilles ?Sans plan d’ensemble, les troupes françaises se retrouvent réduites à agir au jour le jour.Les grandes unités sont livrées à elles-mêmes.Un seul corps d’armée face au bataillon prussien.La lutte est inégale.Les troupes de marine combattent pour la première fois sur le sol de France.La Division Bleue s’impose pied à pied, maison par maison.Quatre fois, Bazeilles est le cadre de combat.Le général Mac Mahon est blessé.S’ensuit alors une pagaille au sein de l’état-major.Ordres et contre-ordres se succèdent.Les tirs fournis de l’artillerie ennemie font d’énormes dégâts.Côté français, les munitions se font rares.Le Général de Vassoigne ordonne la retraite.Il écrira plus tard :« Les officiers et soldats ont fait leur devoir d’une manière complète ».Le Général de Vassoigne, figure emblématique des troupes de marine et de Bazeilles, s’installe à Etretat où il acquiert une villa qui porte son nom, aujourd’hui un hôtel de luxe.Le Major Baillard est le garant de sa mémoire.
André Baillard
Le Général de Vassoigne, il reçoit non pas pour mission d’évacuer directement Bazeilles, mais de protéger la retraite en sachant que, lui, il doit rester à Bazeilles jusqu’au dernier moment, faire replier ses hommes.Mais, le Général de Vassoigne, il exécute, hein.On lui dit de rester, on lui dit de reprendre Bazeilles, il reprend Bazeilles.Donc, il va reprendre Bazeilles avec ses hommes, jusqu’au moment où l’Empereur s’aperçoit que pour tout finir, ça sert à quoi ?Et alors, il dit à De Wimpffen « Vous êtes sûr de l’issue de la bataille ?» De Wimpffen, ferme, il dit « Oui, oui, on va y arriver ! ».Mais l’Empereur « Et il faut consentir encore combien de morts comme ça ?» Et là, De Wimpffen lui dit « Encore 30 000 morts, mon Général ».
Patrick Charlot
Le Marquis Elie Jean de Vassoigne commande la division d’infanterie de marine en 1870.La même année, il est fait Grand Officier de la Légion d’honneur.Ce militaire d’exception a eu des états de service brillants et une carrière non moins accomplie.Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris, mais l’histoire oublie souvent ce grand militaire, encore honoré et respecté au sein des troupes de marine.
André Baillard
Pour un chef, c’est une catastrophe de perdre une bataille, parce que le Général de Vassoigne jusqu’à présent, il n’avait eu que des victoires à son effectif.Mais, moralité, quand vous regardez dans l’héroïsme et l’abnégation, c’est peut-être sa plus..., sa plus grande victoire.
(Musique)
Patrick Charlot
A Bazeilles, les bigors et les marsouins subissent une défaite, mais aucun n’a failli à l’honneur.Un fait d’armes entretenu jusqu’à nos jours : le 1er régiment d’Artillerie de Marine est le digne héritier.
Sébastien Lemée
C’est une référence, parce que c’est une défaite qui a forgé un état d’esprit et qui a permis de montrer au grand jour la Division Bleue et l’unité des troupes de marine.Et aujourd’hui, dans l’Armée de terre, vous vous rendez compte qu’il y a quand même beaucoup de défaites qui sont célébrées.Pourquoi, je n’en sais rien.Peut-être parce que c’est là où apparaissent au plus grand jour la bravoure et la volonté des soldats.
(Musique)
Thierry Lionnet
Cette bataille, pour nous, porte des valeurs auxquelles nous croyons, qui sont le non-renoncement, le culte de la mission.Et le fait qu’on ait choisi une bataille comme moment de célébration de notre fait d’armes, c’est aussi ce qui nous permet de nous souvenir tous les ans que nous faisons un métier particulier.La vocation de l’Armée de terre, c’est l’engagement opérationnel et cet engagement opérationnel parfois, il peut aller jusqu’au sacrifice ultime.Voilà, c’est aussi ça l’esprit de Bazeilles.C’est aussi ça qu’illustre ce tableau de la dernière cartouche.C’est qu’on a quand même un métier un petit peu hors du commun, qui peut nous amener un jour ou l’autre sur un théâtre d’opération à aller jusqu’au don de sa vie.
(Musique)
Patrick Charlot
2 655 marsouins, 5 000 Prussiens sont enterrés à Bazeilles.L’ossuaire matérialise le souvenir des troupes de marine.
(Musique)
Patrick Charlot
Le discours du présent évoquant la relation au passé, un devoir de mémoire.
Jean-Claude Nguyen
On leur dit déjà une chose, ça peut paraître un peu banal, c’est d’observer le silence et de se découvrir.C’est en principe ce que les anciens font.Pour les nouveaux, au cas où ils ne seraient pas nécessairement avisés, c’est aussi une façon de leur dire qu’il y a le respect des anciens qui reposent dans cet ossuaire.Ce qu’il nous pose comme questions, il n’y en a peu, simplement, certains ont réagi en disant que la bataille a dû être rude, et quand on leur expose les conditions dans lesquelles se sont déroulés les combats, ils réalisent qu’effectivement, comme dans toute guerre, ce n’est jamais facile, mais que les combats de Bazeilles ont été particulièrement violents.
Patrick Charlot
Selon un rapport, 423 maisons sur 463 recensées sont incendiées par les Prussiens.Les Bavarois passent 43 habitants de Bazeilles par les armes.Les civils paient un lourd tribut.La maison de la dernière cartouche est un musée depuis le lendemain du conflit.
Francis Bonne
Les Bazeillais se sont investis dans le souvenir, dans la mémoire du souvenir, parce que les cérémonies étaient commémorées à l’époque avec l’accueil des hommes de troupes chez l’habitant.Donc, tous les Bazeillais ont vécu pendant longtemps cette commémoration.Et aujourd’hui, on le voit aussi dans différentes manifestations, qui sont autres que celles qui étaient antérieurement, les Bazeillais sont toujours présents.
(Musique)
Patrick Charlot
Le 2 septembre 1870, Napoléon III rencontre brièvement le Roi de Prusse au Château de Bellevue, qui domine la ville de Sedan.C’est dans ce lieu que les Généraux en chef entérinent l’acte de reddition de l’Armée française.C’est la chute de l’empire, Napoléon III est fait prisonnier.La débâcle de Sedan signe l’échec de la guerre engagée à la légère par la France six semaines plus tôt.
Laurence Laborie
La bataille de Bazeilles, un thème qui a inspiré François Schmitt.Il signe le dessin du jour.
(Musique)
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