Laïcité et liberté d’expression : les enseignants face aux incompréhensions de leurs élèves
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L’assassinat de huit membres de la rédaction de Charlie Hebdo après la publication de caricatures du prophète de l’islam a exacerbé les tensions autour de la notion de laïcité tout en rendant inaudible le débat entre liberté d’expression et liberté de conscience. Face à leurs élèves, dont une partie affiche sa méfiance vis-à-vis de la laïcité, les enseignants ont souvent été seuls pour trouver des réponses.
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Date de publication du document :
01 déc. 2023
Date de diffusion :
21 janv. 2015
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Contexte historique
ParProfesseur agrégé d’histoire-géographie au collège Elsa Triolet à Thaon-les-Vosges
Publication : 01 déc. 2023
Ce reportage a été diffusé le 21 janvier 2015, soit quatorze jours après l’attentat perpétré par deux djihadistes dans les locaux parisiens du journal satirique Charlie Hebdo. Douze personnes ont été assassinées, dont huit membres de la rédaction du journal, parmi lesquels les dessinateurs Cabu, Charb, Honoré, Tignous et Wolinski. En sortant des locaux, les tueurs crient : On a vengé le prophète Mohammed.
Cet attentat s’inscrit dans un contexte géopolitique marqué par l’affirmation de mouvements djihadistes puissants, au premier rang desquels Al Qaïda et l’État islamique, au sein d’une séquence née médiatiquement en 2001 avec les attentats des Twin Towers à New York.
Concernant plus spécifiquement l’attentat contre l’hebdomadaire Charlie Hebdo, il découle d’une polémique née dès 2006 lorsque le journal réalise un numéro spécial titré Mahomet débordé par les intégristes
. Ce dernier comprenait un dessin de Cabu en une et plusieurs caricatures du prophète de l’islam précédemment publiées par le journal danois Jyllands-Posten. Le quotidien avait lui-même édité ces dessins dans un contexte de tensions croissantes après l’assassinat du cinéaste Théo van Gogh aux Pays-Bas et la censure du livre de l’écrivain Kåre Bluitgen au Danemark.
En 2007, la Justice avait débouté un collectif d’associations – dont la Mosquée de Paris et l’Union des Organisations islamiques de France – qui avait porté plainte contre Charlie Hebdo pour délit d’injures publiques à l’égard d’un groupe de personnes, en l’occurrence les musulmans, à raison de leur religion .
L’affaire opposait deux droits fondamentaux. Le premier est la liberté de conscience – d’où découle le droit au respect des croyances religieuses –, qui est protégée par des textes étudiés par les élèves : l’art. 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, l’art. 1er de la Constitution de 1958 et l’art. 1er de la loi sur la séparation des Églises et de l’État de 1905. C’est l’application de ce droit – que certains traduisent simplement par une demande de respect
vis-à-vis des religions – qui est demandé par les plaignants. Le second droit fondamental reconnu à tous citoyens est la liberté d’expression protégée par l’art. 11 de la même Déclaration de 1789 et par la loi sur la presse de 1881. C’est lui qu’invoque Charlie Hebdo. L’article 3 de la Charte de la laïcité à l’école résume assez bien ces considérations et cette tension apparente : La laïcité garantit la liberté de conscience à tous. Chacun est libre de croire ou de ne pas croire. Elle permet la libre expression de ses convictions, dans le respect de celles d’autrui et dans les limites de l’ordre public.
Le nœud du problème est de savoir si la critique d’une croyance, même sur le ton de la satire, est assimilable à une injure à l’égard des croyants. Il a été tranché dans d’autres affaires judiciaires, notamment lors du détournement de La Cène de Léonard de Vinci au profit de la marque de prêt-à-porter Marithé + François Girbaud. Les juges avaient estimé que la parodie n’a pas pour objectif d’outrager les croyants dans leur ensemble ni de les atteindre à titre individuel : elle ne peut donc être assimilée à une injure qui, dans ce contexte, est une attaque personnelle et directe dirigée contre un groupe de personnes en raison de leur appartenance religieuse. Autrement dit, il y a une dissociation entre les publications injuriant les membres d’une communauté religieuse – qui peuvent être attaquées en justice – et les publications visant une religion ou ses symboles. Dans le cas de Charlie Hebdo, parce que les caricatures publiées évoquent soit les intégristes musulmans, soit les attentats-suicides, elles n’ont pas été considérées comme des injures puisqu’elles n’assimilent pas islam et commission d’actes de terrorisme, et ne visent donc pas l’ensemble des musulmans en raison de leur religion. Quant aux droits à l’humour et à l’offense, la justice les reconnaît comme légitimes lorsqu’il s’agit de s’opposer à des mouvements qui cherchent à censurer les libertés individuelles et réduire la liberté de conscience de chacun.
Face à des élèves qui perçoivent la critique d’une religion ou bien la limitation de l’expression publique du culte comme des atteintes à leur identité, à leurs droits, il est important de rappeler d’une part que toute liberté à ses limites, d’autre part que les religions, leurs symboles, leurs pratiques sociales et leurs prescriptions ne sont pas exempts d’une critique fondée sur la raison. L’article 12 de la Charte de la laïcité à l’école stipule ainsi clairement qu’aucun sujet n’est a priori exclu du questionnement scientifique et pédagogique
. On ne peut donc, au nom d’un supposé respect des religions, traiter différemment ces dernières des autres idéologies ou systèmes de pensée abordés dans le cadre de l’enseignement. Cette exigence est d’autant plus impérieuse que les religions embrassent l’ensemble des sujets qui ont trait à l’être humain comme individu et comme acteur d’un collectif. C’est bien par le recours à cet article 12 que peut advenir l’objectif affiché dans l’article 6 de la même charte : offrir aux élèves les conditions pour forger leur personnalité, exercer leur libre arbitre et faire l'apprentissage de la citoyenneté
tout en les protège[ant] de tout prosélytisme et de toute pression qui les empêcheraient de faire leurs propres choix
. Un enseignant, tout en conservant le strict devoir de neutralité qui lui incombe, a donc le droit d’interroger toute forme de prescription ou de conditionnement qui viserait à limiter la liberté et l’égale dignité des individus.
Éclairage média
ParProfesseur agrégé d’histoire-géographie au collège Elsa Triolet à Thaon-les-Vosges
Le reportage a été tourné auprès de trois professeurs d’histoire-géographie après l'attentat du 7 janvier contre le personnel de Charlie Hebdo. L’objectif est de montrer la difficulté qu’il y a à expliquer aux élèves le principe de laïcité, qui fait souvent l’objet de méfiance, voire de rejet. La journaliste propose de suivre trois enseignants, soit trois façons d’aborder le sujet mais, concrètement, deux cas sont examinés, le troisième professeur expliquant les limites de son travail sans le voir interagir avec les élèves.
La première partie du reportage se déroule dans une classe du lycée Paul-Langevin de Beauvais (Oise). On notera que le seul élève interviewé est un garçon d’une classe de 5e, ce qui semble étonnant dans un lycée. La suite du reportage se déroule dans le collège Camille-Corot de Chelles (Seine-et-Marne), situé en zone sensible
et dont la moitié des élèves sont de culture musulmane
.
Dans le lycée de Beauvais, l’enseignant propose aux élèves de s’exprimer sur les caricatures du prophète de l’islam et de se positionner entre être Charlie
ou ne pas être Charlie
. Témoigne alors un élève que l’on suppose musulman et qui condamne les caricatures sur les religions, une conviction personnelle forgée sur les réseaux sociaux. L’enseignant explique face caméra que son travail est de permettre aux élèves de distinguer histoire et croyance, liberté de croyance et vérité historique fondée sur l’analyse des sources.
Dans le collège de Chelles, un autre professeur a consacré à la question la totalité du journal interne qu’il fait rédiger à ses élèves, Le Petit Corot, en édition spéciale. Il leur demande de justifier leurs prises de position dans cette édition spéciale. Une élève musulmane affirme que l’attentat contre Charlie Hebdo est inexcusable, jugeant que les auteurs n’ont pas eu une attitude de musulmans
. L’enseignant témoigne de la colère et des incompréhensions de certains musulmans face aux questions sur le port du voile, la viande halal, les prières ou l’accompagnement des sorties scolaires. Pour eux, la laïcité est synonyme de remise en cause, voire d’agression de leur religion.
Le dernier professeur interrogé n’est pas filmé en train de travailler avec ses élèves sur les attentats ou la laïcité (c’est un cours de géographie de 4e). Il dresse un constat pessimiste sur les moyens de l’école face à la multitude des discours auxquels sont confrontés des élèves qui n’ont pas toujours la réflexion et les connaissances nécessaires pour comprendre les enjeux et les notions.
Il faut noter qu’en 2015, la formation des enseignants aux problématiques de la laïcité et de la liberté d’expression fait clairement défaut. Le changement ne surviendra qu’après le drame de Conflans-Sainte-Honorine en octobre 2020, avec l’assassinat par un djihadiste de Samuel Paty, un professeur d’histoire-géographie qui avait montré et expliqué à ses élèves le sens des caricatures de Charlie Hebdo. Un an plus tard, l’Éducation nationale engage un plan de formation nationale pour l’ensemble de son personnel.
Transcription
(Cliquez sur le texte pour positionner la vidéo)
David Pujadas
On revient à cette laïcité, à cette autorité qu’on évoquait.On va essayer de mieux comprendre ce qui se passe justement dans certains collèges ou lycées.Nous avons pu entrer dans des classes où les débats ont lieu ces jours-ci.Comment se nourrit la méfiance ou le rejet ? Quelle peut-être la réponse des professeurs aussi ?Reportage Isabelle Sabourault, Mathieu Renier.
Isabelle Sabourault
Pour parler de laïcité, ils sont en première ligne.Trois professeurs d’histoire-géographie, trois façons de faire pour défendre la tolérance et les valeurs de la République.
Arnaud Donneger
Écrivez-moi quelque chose de court mais de franc sur ce que j’ai pensé de ce qui s’est passé la semaine dernière.
Isabelle Sabourault
Arnaud Donneger, 35 ans, enseigne dans ce lycée, à Beauvais dans l’Oise, depuis une dizaine d’années.Sa méthode : faire parler les élèves, entendre tous les points de vue, quels qu’ils soient.
Arnaud Donneger
Je ne suis pas Charlie, cela ne veut pas dire que je suis d’accord avec ce que les terroristes ont fait, mais la caricature qu’ils ont faite sur l’Islam, je ne pense pas que ce soit normal.Je pense que tuer pour ces dessins, c’est injuste.
Isabelle Sabourault
Dans la classe, deux élèves condamnent les caricatures, même si Ahmed, en 5e, a du mal à expliquer pourquoi.
Ahmed
Moi, déjà, Je ne suis pas Charlie, parce que je pense que ce n’est pas bien ce qu’ils ont fait.Une religion c’est sacré, il ne faut pas attaquer une religion par des caricatures.
Isabelle Sabourault
Et pourquoi on n’aurait pas le droit de faire une caricature ?
Ahmed
Je ne sais pas vraiment, mais je pense que ce n’est pas bien.J'en n’ai jamais lu d’écrits qui disent que ce n’est pas bien, mais d’après moi ce n’est pas bien.
Isabelle Sabourault
Donc toi, tu répètes ce que tu as entendu, d’où tu sors finalement ta propre conviction à toi ?
Ahmed
Déjà de moi, sur les réseaux sociaux.
Isabelle Sabourault
Certains ados vont donc puiser leur culture religieuse sur internet avec le risque d’avoir une connaissance approximative de leur propre religion.Pour leur répondre, Arnaud Donneger s’appuie sur l’histoire.
Arnaud Donneger
Je peux comprendre que certains élèves considèrent qu’on va là, que je vais là sur un terrain où je n’ai pas le droit d’aller.On essaie de faire comprendre qu’il y a l’histoire et il y a la croyance, il y a la liberté de croyance et il y a la vérité historique basée sur la méthode du prof d’histoire-géo.Travailler sur les sources, travailler sur les textes.
Isabelle Sabourault
Dans ce collège de Seine-et-Marne en zone sensible, la moitié des élèves sont de culture musulmane et les enseignants ont dû faire des heures de pédagogie pour désamorcer les tensions.Ce professeur d’histoire s’est servi du petit journal qu’il réalise depuis dix ans avec ses élèves.Ce dernier numéro est entièrement consacré à l’attentat contre "Charlie Hebdo".
Jean-Riad Kechaou
Qu’est-ce que tu as voulu dire dans ton article sur l’islam ?
Inconnue
Que ce qu’ils ont fait ce n’était pas une attitude de musulman.Que le prophète, il n’a jamais, avec tout ce qu’on lui a fait, c’était pire que des dessins, il ne s’est jamais vengé.
Jean-Riad Kechaou
On regarde un petit peu les dessins ?
Isabelle Sabourault
Croyance, laïcité, pour Jean-Riad Kechaou les incompréhensions ne datent pas d’hier.En quelques années, il a vu monter la colère de certains élèves musulmans.
Jean-Riad Kechaou
C’est des élèves qui ont grandi, en ressentant la laïcité comme une attaque de leur religion.En pensant que la laïcité était finalement une remise en cause de leur religion, avec ces affaires sur le voile, les affaires sur la viande halal, sur les prières, sur le fait que leur maman ne pouvait pas faire les sorties scolaires avec eux quand ils étaient à l’école primaire.Ça a beaucoup joué toutes ces choses-là.
Isabelle Sabourault
Dans la classe d’à côté, Olivier Gomez enseigne l’histoire depuis quatre ans.Il a, lui aussi, passé beaucoup de temps à organiser des débats avec ses élèves.Pessimiste, ce qui l’inquiète, c’est l’impuissance de l’école face aux plus radicaux.
Olivier Gomez
Je pense que ce n’est pas une heure d’éducation civique, ce n’est même pas les heures d’éducation aux faits religieux que l’on peut avoir en 6e ou en 5e.Ce n’est pas les quelques débats que l’on peut avoir avec les élèves qui vont avoir un impact définitif et qui vont complètement changer les choses.Les élèves de ce collège, mais je suppose d’autres collèges, sont confrontés à une multitude de discours, ont des sources d’informations multiples, n’ont pas toujours la réflexion nécessaire ou n’ont pas suffisamment ancré les connaissances pour pourvoir, je dirais, tirer entièrement partie de ce qui s’est fait ici.
Isabelle Sabourault
Il faudrait d’abord, dit-il, aider ces jeunes en français notamment, car dans sa classe, sur 25 élèves, 10 n’ont pas le vocabulaire minimum pour comprendre des notions complexes comme République et laïcité.
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